Grandi vini di Francia

Délicieusement fruité, avec un corps tendre et rond, un beau volume de bouche ample, sans tension mais avec beaucoup de profondeur.

Robe mordorée, magnifique complexité aromatique, un charme fou, une longueur onctueuse et raffinée, bref aussi complexe que délicieux.

Le savoir-faire de Ruinart en matière de blanc de blancs n’est plus à prouver, et ce 2006 est à la hauteur de la réputation de la maison : brillant, svelte et élancé, notes de zeste et touches salines, finale veloutée,...

Grand raffinement, élégance de texture splendide, fruit délicat, à la fois dynamique et ultra raffiné.

Une bouche bien en chair, de la rondeur, et toujours ce bon fruit propre au millésime. Il s’agit ici de la cuvée domaine et pas du négoce.

Un très joli petit-chablis, nerveux et frais, avec un bon fruit, soutenu par de beaux amers salivants.

Complexe, une richesse aromatique et de la densité, c’est un bourgogne de compétition.

Beaucoup d’amplitude, de rondeur et de souplesse, généreux et frais à la fois.

Vif en attaque, fraîcheur mentholée en milieu de bouche, la finale est poivrée. Il a du fond.

Modèle du genre pour ce millésime chaud : on a ici une fraîcheur bienvenue associée à une matière subtilement mature.

L’un des chevaliers du millésime, pour son étoffe raffinée et sa pureté cristalline.

Une entame de bouche bien ronde, un bon fruité blanc, lui aussi n’a pas une grosse acidité mais une belle réserve de minéralité en finale, ce qui le retend bien.

Un bourgogne de talent, vif, du fond et de la tension. Il situe la première marche du reste de la gamme et nous sommes déjà ici en haut de l’escalier.

Un fruité très mûr, de la tension grâce à une belle minéralité calcaire, ce qui n’est pas évident dans le millésime, on le boira assez jeune cependant.

Avec 10 % de gamay qui lui apportent beaucoup de fraîcheur, il est tendu, poivré, explosif. Bluffant !

Franchise, bel équilibre, très expressif. Droit et intéressant, un très joli village.

Une bombe aromatique, très complexe, dense, charnu, vertical et franc. Grand nuits-saint-georges.

Beaucoup de fond, poivré, une belle fraîcheur. D’un naturel déconcertant, sur le fruit et la finesse.

Comme une promesse, déjà bien en place, il amorce tout juste son ascension vers les étoiles. Blanc de grande garde, ce jeune qui débute est loin d’être à son firmament et requiert de la patience.

Bouquet frais et timide, il prendra l’âge avec grâce et en profondeur. À boire sur sa jeunesse évanescente ou à attendre pour une complexité toute nuancée.