Le vin absolu, dans ses multiples parfums qui vont et qui viennent sans interruption, dans sa texture au fuselage minéral qui se déroule à l’infini et dans sa subtilité structurelle qui en fait un cru de grand frisson.
Dimension superlative, grand style, profond, minéral, savoureux, il développe une exquise fraîcheur en finale et le fait avec un équilibre souverain : l’opulence native du roi Montrachet mais sans puissance excessive.
Épuré, élégant et encore bien jeune, ce superbe blanc est très bien vinifié, il commence tout juste à s’éveiller. Idéalement à garder encore un peu en cave.
Fruité et longueur exceptionnels, uniques. Splendide tannin d’une complexité de texture sans équivalent dans le clos cette année et probablement dans toute la Bourgogne. Que dire de plus ?
La beauté de leur blanc laisse rêveur. Et il n’a même pas encore atteint sa vitesse de croisière. Complexe, très long en bouche, gras, ample et généreux, sa grâce et son équilibre impressionnent. Un très grand blanc.
Goûté sur cuve. Fruité frais, la poire domine, bouche nerveuse et élégante, il n’était pas en place le jour de notre visite mais l’équilibre et la fraîcheur sont là. La note est provisoire.
Plus droit, plus tonique que mule-blanche, une belle acidité qui donne du peps dans ce millésime mûr, il évoluera bien autour de sa salinité de fin de bouche.
Splendide mazis d’une délicatesse incroyable, précis et superbe dans son expression de finale. Quelle finesse sans qu’elle n’altère la structure très terrienne de ce climat.
De grande précision, c’est l’un des plus aériens bonnes-mares dégustés cette année, qui a néanmoins gardé en finale la profondeur terrienne du finage. Salin et frais, d’une immense élégance.